Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Réflexion féminine

2 mars 2015

harcèlement etc.

Dans ma mission de volontariat, je vais participer à un séminaire où je parlerais du harcèlement. Je me focaliserai notamment sur harcèlement à l’école et sur harcèlement au travail. Je suis particulièrement sensibilisée au harcèlement à l’école qui touche pas moins d’un élève sur 10, ce qui est juste énorme. Mais, passons, là n’est pas le sujet.

Je faisais des recherches et me demandais si je ne devais pas évoquer le harcèlement de rue bien que le sujet ne soit pas du tout là.

Dans mes études j’ai pu étudier les violences conjugales en axant sur les violences conjugales envers les hommes. Cela m’a valu des colères et des chouinements de certaines personnes, c’était terrible. Des personnes de type féministes. Mais pas des féministes qui défend de façon bienveillante les droits de la femme et autres valeurs nobles. Là, c’était des féministes qui avaient un penchant négationniste concernant le sujet des hommes victimes de violences conjugales. Pourtant cela existe, malheureusement. Et je ne vois pas pourquoi on ne devrait pas en parler au même titre que la violence conjugale envers les femmes, qui est, bien évidemment, quelque chose d’encore beaucoup trop présent.

Lors desdites études je suis tombée sur des sites internet, blog et autres moyens de communication qui défendaient énormément la cause des femmes (ce qui est très bien à mon sens, d’autant plus que je le suis, femme.) et qui par ailleurs diabolisaient d’un côté et dévalorisaient de l’autre, les hommes avec leur « privilège cis blanc hétéro » Bon.

Oui oui, j’y viens.

Pendant mes recherches pour la présentation pour le séminaire, j’ai donc fait quelques recherches sur la toile pour voir ce que l’on trouvait quand on tapait « harcèlement de rue ». Et j’ai découvert ce blog. Ce bloggeur a mis en BD une grande part de ma réflexion depuis ces quelques années concernant la victimisation perpétuelle de la femme. Ouais, rien que ça.

Je vous laisse le découvrir.

Publicité
Publicité
1 mars 2015

La fête des grand-mèr(d)es

En ce jour de fête des grands-mères, fête inventée par ailleurs par la célèbre marque de café en 1987, je ne suis pas triste. Je peux même dire que je ne suis pas plus heureuse que les autres jours de ma vie. Pourtant j’ai eu 2 grands-mères. Une encore bien vivante dont je n’ai malheureusement jamais été proche et l’autre décédée, depuis 5 ans je crois. Cette grand-mère décédée qui s’appelait Hélène, n’était pas une fille commeuh les autreuh. 

Sans titre

Pour commencer elle est née en 1922, elle a eu ma mère lors de sa 42ème année. Ce qui fait que j’avais 3 générations d’écarts avec celle-ci. Beaucoup, n’est-ce pas ?

Bon ça c’est juste pour vous expliquer le contexte. Et je continue de ce pas.
J’ai grandi dans une maison, avec mes parents, mon frère et ma grand-mère, en rase campagne, tellement rase, cette campagne que je n’ai pas de numéro de rue. Je n’ai pas de rue non plus en fait. J’étais située entre deux villages, isolée de tous pour mon plus grand bonheur d’une part et de mon plus grand malheur d’autre part.

Quand j’étais petite, mes deux parents travaillaient, et c’est ma grand-mère qui s’occupait de nous quand ils n’étaient pas là. Je m’explique : entre midi, elle venait nous chercher à l’école, nous faisait à manger, nous re-ramenait à l’école, nous cherchait le soir à l’école. Et tout les mercredis et autres jours où mes parents étaient absents, elle s’occupait de nous.

Quelle chance a-t’on eut mon frère et moi. Nous n’avons pas été élevés par une étrangère mais par la mère de ma mère.
Bon il est vrai que notre maison (construite par ma grand-mère et mon supposé grand père dans les années 50) est très belle, très grande, dans un endroit très calme et très charmant. Ce qui fait que j’ai longtemps joué dans la forêt, je pouvais faire des promenades avec ma chienne sans que personne n’ait peur pour moi, et je ne me faisais pas prié pour y aller.

Vous vous dites, "mais où veut-elle en venir à la fin !"

J’y viens, j’y viens calme toi, voyons.

Cette grand-mère qui a connue certainement pleins de choses dans sa vie genre la second guerre mondiale toussa, (oui je suis originaire de la Moselle, frontière Allemande et Bas-Rhinoise) et bien cette grand-mère et la personne qui m’a fait certainement le plus de mal dans ma vie. Bon à part elle, il n’y a pas eu grand monde, soit.

Dans ce contexte idyllique, ma grand-mère faisait tâche. Elle me traitait de « glenne Hex » en patois, petite sorcière. Mignon, me diriez-vous. Parce que vous ne l’avez pas vu me le dire vous répondrais-je. J’avais 6 ans ?
Un jour j’ai appris qu’elle lisait mon journal intime. C’était désastreux pour moi
Vers 16 ans, lorsque je me pesais, ma grand-mère me demandait ensuite,
« combien tu pèses ?
-50kg
-Mais tu es grosse ! Quand je me suis mariée je faisais à peine 50kg »

Oui, je mesurais déjà 1m68 et j’étais loin d’être grosse. Quant à elle, elle a toujours été petite, ceci explique cela. Aujourd’hui je peux le prendre avec du recul ! Mais pas à 15 ans. Alors j’ai eu quelque soucis de comportement alimentaire mais pas bien grave qui n’ont pas duré.

Par ailleurs, il y avait chez elle une sorte de haine envers les hommes. Ce qui fait qu’elle avait certainement peur pour moi, mais cela se traduisait par des soupçons envers mon intégrité.

Par exemple ? Depuis que je suis toute petite, ma grand-mère était persuadée, mais vraiment, PERSUADEE que mon père et moi avions une liaison. Etrange n’est-ce pas ?

De ce fait, elle détestait mon père (sauf quand elle avait besoin de lui) et s’en prenait à moi. Moralement seulement car elle ne m’a jamais frappée. Oui parce que lorsque ce genre de soupçon faisait surface, elle n’en parlait qu’à moi. Jamais devant mon père ou ma mère.
Elle m’adressait une sorte d’accusation, comme si, déjà, c’était vrai (c’est complètement faux je précise) et comme si je faisais en sorte de provoquer mon père sexuellement ? Toute petite je précise, j’avais peut être 8 ans quand je m’en suis rendue compte.
Je me souviens que je me sentais obligée de lui tenir compagnie, parce qu’elle me le demandait, quand elle regardait la télé. Elle adorait regarder « les feux de l’amour » j’attendais qu’elle s’endorme pour que je puisse m’en aller discrètement. Une fois, dans cette série, il y avait un homme qui tentait d’embrasser une femme. Cette femme l’a giflé en guise de réponse. Ma grand-mère s’est tournée vers moi et m’a dit « c’est comme ça que tu dois faire avec ton père ! » Mon dieu quand j’y repense…

Ce qui a fait que je n’ai jamais eu une vraie relation père-fille avec mon père, toujours de la distance.
Ce qui fait que je portais une sorte de culpabilité mais je ne savais pas pourquoi
Ce qui fait que j’ai toujours galéré pour avoir confiance en moi.

 

Source: Externe

 

Ah Mamie… Si tu savais comme je t’ai toujours détestée. Ta disparition a fait du bien à tout le monde. Si, tout le monde.

25 février 2015

Le bonheur d'être une femme euh une fille, euh disons une femme-enfant

Le 1er jour de mes règles tombent un samedi. J’ai de la chance parce que je souffre relativement assez ce jour-là. Du coup, ma journée peut se résumer à ça une fois par mois :

- Je me réveille vers 10h en disant à chéri que je souffre. De cette manière-là, chéri prend bien soin de moi (THE avantage d’avoir le drapeau communiste dans sa culotte.) : il me fait des câlins, il me masse le bas du ventre, me prépare mon petit déjeuner.
- Moi, je ne bouge que pour prendre une douche ou aller aux toilettes (y’a que moi qui peut  l’faire… c’est pour ça.).
- Mais bon, chéri n’a peut-être pas envie de faire la peluche toute la journée, alors lorsqu’il retourne sur son ordinateur, et que je continue à souffrir, je gémis « j’ai maaaaal » et lui ne sachant que faire me demande « qu’est-ce que je peux faire ? Que veux-tu que je t’apporte ? »
 
Le mâle ayant mordu à l’hameçon, je lui demande « des câââlins et un film ou une série» *snurf*
A partir de ce moment précis, c’est le paradis ! Lit+couette+série/film+chéri+câlin.

Source: Externe

QUOI ?? faut bien qu’on tire UN PEU profit de cette douloureuse période !

 

image: http://p8.storage.canalblog.com/82/47/943414/74417486.jpg

24 février 2015

Les khmers rouges dans tes ovaires

Comme je suis en code rouge en ce moment, cela m’inspire.
Un matin dans la cuisine, pendant que je prenais mon petit déjeuner, mon coloc entre avec une gueule sortie d’outre-tombe. Lorsqu’il a vu ma mine inquiète à son sujet il m’explique :


- J’ai mal dormi, je suis patraque, j’ai mal au ventre…
- Ah ! Je connais ça! Toi aussi t’as tes règles ?
- Euh, ouais ça doit être ça…

 

Source: Externe

image :http://blog.biokime.com/tag/serviette-hygienique/page/2

 

23 février 2015

L'auberge espagnole-sans transition.

J’habite en colocation avec 3 mecs y compris mon chéri. Quand j’ai mes règles, j’aime le faire savoir pour bien faire comprendre à touuuut le monde de me foutre la paix pendant au moins 4 jours.

Sauf que chez nous, il y a souvent des invités. Il arrive quelques fois qu’eux aussi soient au courant que je suis indisposée.

 

    Moi : « Qui c’est qu’a laissé le fromage pas-dans-le-frigo ??!
    Invitée : - je crois que c’est moi… désolée…
    Coloc': -ça va toi? Qu'est ce qu'il t'arrive? Ah oui ! C'est vrai t'as encore des ragnagnas!»

Source: Externe

 

Publicité
Publicité
9 octobre 2013

Les femmes sont vénales

Tout le bien de tomber amoureuse d’un homme riche

Mon ex, qui était aussi mon 1er petit copain souhaitait avant tout être à l’abri du besoin et ne plus être à la charge de ses parents. C’est pour ça qu’il a commencé à travailler le week end en dépit de moi. Lorsqu’il a fini son BTS il s’est inscrit dans une boite de travail temporaire, autrement dit, en intérim. Il a réussi à gagner 3000€ par mois dès le début, mais à 300km de moi. On ne se voyait plus. On s’est quitté, à cause de la distance mais aussi à cause de problème interne au couple avant qu’il n’aille gagner sa vie.
J’étais tombée amoureuse de lui à 14ans… Rien à voir avec l’argent mais c’est pour situer le contexte financier.

Mon copain actuel a 5 ans de plus que moi, en est à sa 7ème année d’étude après le bac. Il n’a pas un sou en poche et c’est problématique. Je n’ai pas à me plaindre personnellement, j’ai des sous de côtés je n’ai pas besoin d’argent.
Le côté problématique c’est que je peux me ruiner assez facilement. J’ai envie de tout lui payer quand il est avec moi ou même quand il n’est pas avec moi… Je risque de le regretter une fois que je ne serais plus avec lui. Se sera de l’argent perdu pour « rien »…

Tout le bien de rencontrer un homme riche :
Quitte à choisir, pourquoi pas sortir avec un homme riche ? Je ne dis pas qu’il faut choisir en fonction d’une situation financière

.
Je dis que si on a le choix entre par exemple 2 hommes.
Sensiblement identique :
- Bel homme brun avec un regard ténébreux
- Intéressant, discutant et écoutant (surtout)
- Intelligent
- Qui est intéressé par nous très fortement
- Nous donnant des compliments

Bon tout ça c’est pareil entre les 2 hommes. Un seul détail change : sa fortune
L’une est inexistante, l’autre est bien remplie ou alors, simplement, convenablement.
Là je dis, on ne doit pas hésiter. Il faut sortir avec le mec avec un peu de sou dans son porte-monnaie. Et pourquoi pas après tout ?
J’ai eu pendant longtemps une sorte d’aversion pour l’argent. Ca me faisait gerber les personnes près de leur argent. Je suis plutôt quelqu’un de généreux. J’offre souvent un verre à mes copines, à mon copain, à mon frère….
Mais une fille qui offre à chaque fois un verre à son copain, qui paye les courses pour son copain, qui paye le kebab pour son copain, qui paye les sortis pour son copain, ça devient… Trop.

Je suis un peu vieille école. En fait non pas du tout, mais j’apprécie que mon copain m’offre un verre de temps en temps ou qu’il me fasse un petit cadeau, pas trop parce que je ne veux pas qu’on dépense trop d’argent pour moi. Il ne s’agit pas de mettre plus de 40€ pour mon cadeau d’anniversaire.

Donc, en conclusion, je suis une fille et je ne suis pas vénale, je suis généreuse, mais faut pas pousser ;).

21 mai 2013

Amour et Pessimisme

Alors quoi?

Est-ce que les hommes sont tous vraiment guidés par leur bas-ventre? Passer à côté d'une occasion serait pêché mortel dans leur esprit?
Est-ce que l'amour existe-t'il vraiment? Serait-ce la simple activité de nos hormones qui nous poussent à croire en l'Amour?
Posez-vous bien la question: Qu'est ce qu'être amoureux?

Malgré l'exemple de mes parents qui sont toujours ensemble et qui s'aiment toujous, j'ai un doute.

Pour mes études, j'ai fais des recherches sur les violences conjugales. J'ai donc approfondie le sujet des hommes et des femmes et de ce qu'est un couple. Toutes ces recherches m'ont seulement permises de me poser encore plus de questions.

Lorsqu'on dit, l'amour dure 3 ans, c'est la passion qui dure 3ans. Mais savez-vous pourquoi?
Enfait, les 3 ans de passion permettent la procréation et d'élever un enfant. Après 3 ans, l'enfant peut se passer d'un de ses parents puisqu'il est (autant que possible à cet âge-là) autonome.

Les hormones nous mettent une sorte de voile devant les yeux. On voit l'être aimé comme quelqu'un d'extraordinaire et avec lequel on a envie de construire quelque chose. Seulement, 3ans passé (plus ou moins, on n'est pas au jour près), les hormones (l'ocytocine) sont moins sécrétées. De là, une baisse ou une disparition de la passion amoureuse. C'est un effort continuel, après cette période pour tenter de sauvegarder le couple en multipliant les efforts que nous n'avions pas à faire avant, venant d'eux-même naturellement.

Rendez-vous bien compte, à quel point les Walt Disney et les contes pour enfants autour des princesses et des princes charmant nous ont inculqués de fausses croyances autour de l'Amour.

Dans la Sociologie du couple, J-C Kaufmann parle de mythe réalisé. En effet, c'est d'après les romans, que la notion d'amour a pu réellement prendre forme. C'est pour dire à quelle point nous sommes naïfs!... Du moins à quel point je le suis.

Il faudrait se faire une raison, se dire que l'amour n'existe pas, ou qu'il ne dure qu'un temps. Mais moi, femme que je suis, j'ai tellement envie d'y croire ! De me dire qu'un jour j'aurais un "chez-nous" avec une petite vie bien remplie d'amour de douceur (et de sexe, évidemment)...
Il faut que j'arrête de dire ce que je ressens à cet homme qu'est le mien (notion abstraite, il ne m'appartient pas!), à quel point je me sens bien avec lui; c'est exactement de cette façon là que je lui fais miroiter un Moi disponible à Lui entièrement. Mais qui désir ce qu'il a déjà?

Me mettre en couple avec un homme plus âgé m'a semblé être une bonne idée pour construire une relation stable...déjà que ce n'est pas moi qui suis venue le chercher....
J'espers que tout espoir n'est pas vain...

14 mai 2013

l'optimisme?

C'est parce que je suis une femme ou parce que je suis simplement moi, que parfois, je préfère m’oublier.

Et pour ce faire, j'ai trouvé le bonheur dans la relation.
C'est en étant littéralement accrochée à mon homme que je disparais.

Ou alors que je vis pleinement. C'est les deux à la fois, je m'explique:

- En étant totalement enlacée de ses bras je me mets à disparaître du monde. Cachée par ses bras et par son corps.
J'ai d’ailleurs trouvé, un certain réconfort lorsque je lui demande de s'allonger totalement sur moi et de s’y endormir. Je suffoque presque sous son poids mais sans savoir pourquoi, je trouve ça fort, d'un agréable sans égal.

- C’est en étant totalement enlacée de ses bras que je vis le plus fort. C’est lorsqu’il m’étouffe de son poids lorsqu’il s’allonge sur moi pour s’y endormir que je réalise ma vie. A souffrir de bonheur et de suffocation, écrasée par un cœur dans corps que j’aime.

Sans jamais avoir la complète certitude qu'il m'aimera encore demain.

2 avril 2013

l'optimisme désoeuvrée

Mon bonheur est si grand que je vais vous le vomir à la gueule, pour votre plus grande joie.

C’est comme si j’avais 12 ans et que je promenais constamment avec des couettes de chaque côté de la tête, apostrophée d’un sourire débile.

C’est simple. Il m’arrive de douter de l’amour de mon bien-aimé. Je crois que c’est un mal purement féminin. (L’aliénation des femmes…)
C’est dans ces moments-là que je me sens un peu disons, mal, mal-aimée. C’est con parce que ça ne fait que 2 mois. Si on commence à douter au bout de 2 mois… Je vous expliquerai peut être un jour, si vous n’êtes pas une femme, ou si vous êtes une femme mais non-alienée (ça doit exister, je pense. Enfin, sans certitude), ce qu’est la folie des femmes et leur anti-rationalité très largement répandu dans le domaine amoureux.

Bon pour en venir aux faits, qu’est ce qui me rend si mièvre ? En fait c’est mon amoureux qui me propose d’aller voir ses parents. Vous me direz, et alors ? Ça arrive à pleins de gens !
Oui ! Exactement ! Et est-ce que je peux savoir la réaction de ces gens ?
Ça peut être partagé comme sentiment. Déjà la peur, espérer leur plaire, qu’ils vont nous plaire aussi.

Mais ce qui me rend candide, c’est aussi qu’il n’y est pas retourné depuis plusieurs années. Je m’avance peut être un peu mais je crois que je suis la première fille qu’il va présenter à ses parents.
Et ça c’est quelque part….très…jouissif !

Ma tête se détache littéralement de mon corps et roule jusqu’à atterrir sur un arc en ciel et se dépose au pays des petits-poneys volants.  

20 mars 2013

introspection, un mélange d'optimisme et de pessimisme

Si je ne sais pas « bien » faire les choses, je ne fais pas.

De quoi s’agit-il ? Qu’est-ce que cela traduit ? Est-ce une forme de perfectionnisme ?

Evidemment cela traduit d’un manque de confiance en soi. Mais d’où ais-je ce soucis ? D’aussi loin que je me souvienne, mes parents m’ont toujours soutenue. Ou alors c’est une fausse image que j’ai de l’impact qu’ils ont eu sur moi durant  mon enfance. Mais pourquoi l’enfance joue ce rôle si considérable sur nos vies d’adulte ?

Je veux croire que l’on peut changer. Mais comment ? Comment peut-on procéder ? Sommes-nous obligés d’avoir de l’aide pour réussir à changer notre comportement ? Ou est-il inscrit à vie si l’on ne demande pas d’aide ? J’entends par « aide », un psychologue ou un coach. Une sorte de thérapie. Ou de s’exercer jusqu’à ce que l’on parvienne à changer.
Cela se fait-il au travers d’expériences ? Cela vient seul, avec le temps ?

S’agit-il  simplement de s’imaginer ?

Je m’imagine…
Je m’imagine avoir confiance en moi.
Je m’imagine être responsable, assumer mes choix. Assumer ce que je fais.
Faire des choses dont je suis sûre de réussir.
Ou faire des choses, les louper à petite échelle, mais me dire que ce n’est pas grave. Que je dois faire des erreurs pour y arriver.

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Réflexion féminine
Publicité
Archives
Publicité