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Réflexion féminine
2 avril 2013

l'optimisme désoeuvrée

Mon bonheur est si grand que je vais vous le vomir à la gueule, pour votre plus grande joie.

C’est comme si j’avais 12 ans et que je promenais constamment avec des couettes de chaque côté de la tête, apostrophée d’un sourire débile.

C’est simple. Il m’arrive de douter de l’amour de mon bien-aimé. Je crois que c’est un mal purement féminin. (L’aliénation des femmes…)
C’est dans ces moments-là que je me sens un peu disons, mal, mal-aimée. C’est con parce que ça ne fait que 2 mois. Si on commence à douter au bout de 2 mois… Je vous expliquerai peut être un jour, si vous n’êtes pas une femme, ou si vous êtes une femme mais non-alienée (ça doit exister, je pense. Enfin, sans certitude), ce qu’est la folie des femmes et leur anti-rationalité très largement répandu dans le domaine amoureux.

Bon pour en venir aux faits, qu’est ce qui me rend si mièvre ? En fait c’est mon amoureux qui me propose d’aller voir ses parents. Vous me direz, et alors ? Ça arrive à pleins de gens !
Oui ! Exactement ! Et est-ce que je peux savoir la réaction de ces gens ?
Ça peut être partagé comme sentiment. Déjà la peur, espérer leur plaire, qu’ils vont nous plaire aussi.

Mais ce qui me rend candide, c’est aussi qu’il n’y est pas retourné depuis plusieurs années. Je m’avance peut être un peu mais je crois que je suis la première fille qu’il va présenter à ses parents.
Et ça c’est quelque part….très…jouissif !

Ma tête se détache littéralement de mon corps et roule jusqu’à atterrir sur un arc en ciel et se dépose au pays des petits-poneys volants.  

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